Publication de l'édit de Milan à Nicomédie, en fait un rescrit que Licinius fait afficher sur les murs de la ville. Il confirme la liberté de culte pour les chrétiens et la restitution des biens confisqués.
Les Huns subissent un revers devant Orléans défendue par Agrippinus et l’évêque Aignan. Ils rebroussent chemin, mais sont rattrapés par Aetius, arrivé d'Italie.
Avec son Conseil, le roi pousse le ministère brissotin à la démission (Servan, Roland et Clavières). Le nouveau ministère est composé de Feuillants (Mourgue, Dumouriez et Beaulieu).
Paris, vidée de ses habitants, est déclarée « ville ouverte ». Tout combat y est interdit. Cet interdit ne concerne que Paris intramuros, et le harcèlement des troupes allemandes se poursuit en banlieue, malgré les protestations des autorités allemandes.
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La rumeur court à Bordeaux que Paris est aux mains des communistes. Georges Mandel, ministre de l'Intérieur, se fend même d'un appel téléphonique à ce sujet au préfet de police de Paris, Langeron, resté en poste dans la capitale. Ce dernier dément évidemment la rumeur.