Posté sur Ouest France
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Posté sur Journal de Quebec
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Posté sur Secret News
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Posté sur La Nouvelle République
Un homme de 50 ans a participé à une battue dans les bois pour retrouver un disparu. Ivre, il n'avait pas compris que la personne disparue n'était autre que lui.
L’amphigouri (substantif masculin) est une figure de style consistant en un discours, texte ou dessin volontairement obscur ou inintelligible à visée burlesque ()
Sisyphe, dans les poèmes d'Homère, est le plus astucieux des Hommes, c'est un navigateur, un grand commerçant, un homme trop sûr de lui puisqu'il n'a pas hésité à défier Zeus, en révélant au dieu-fleuve Azopos, où se trouvait sa fille Egine, que Zeus avait enlevé parce qu'il la désirait.
Pour se venger, Zeus demanda à Thanatos de tuer Sisyphe, mais ce dernier parvint à l'enchaîner et l’empêcha ainsi de l'emmener en enfer. Tout cela suscita le courroux de Zeus qui condamna Sisyphe à faire rouler éternellement un rocher au sommet d'une colline, lequel rocher dégringole ladite colline lorsqu'il est parvenu au sommet.
Alors bien sûr, selon certaines interprétation, Sisyphe incarne les mouvements perpétuels de la nature, le soleil, les marées. Pour d'autres, Sisyphe personnifie le malheur de l'Homme, l'absurdité de la vie. C'est notamment la conception qu'en donne Albert Camus dans son mythe de Sisyphe. Mais pour Camus, Sisyphe est aussi et d'abord un lutteur, il ne cède pas au désespoir puisqu'il continue à faire rouler son rocher, il choisit la vie envers et malgré tout.
Bien que Sisyphe soit condamné à une punition répétitive et sans issue, Camus suggère qu'il est possible d'être heureux malgré l'absurdité de cette situation. Renoncer à l'espoir ne signifie pas nécessairement sombrer dans le désespoir, mais plutôt apprendre à trouver du plaisir dans la vie, et ce, même face à l'adversité. Malgré les critiques virulentes de penseurs comme Sartre et Jeanson, Camus nous enseigne à embrasser pleinement l'existence, en dépit de son caractère absurde.
En d'autres mots, Camus nous invite à adopter une attitude positive et à chercher le bonheur dans les petits moments de la vie, même lorsque notre condition semble désespérée. Son message est d'accepter l'absurde plutôt que de le rejeter, et ainsi de découvrir une forme de sérénité dans l'existence. ()
Bref, dédaignant d’être le lierre parasite,
Lors même qu’on n’est pas le chêne ou le tilleul,
Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul ! (E. Rostand)
Vous savez, faire son propre malheur, c’est très facile : ne vous occupez pas du tout du présent. Vous n’avez qu’à vous réfugier dans le passé, vous ronger le foie en vous rappelant constamment ce qui s’est passé dans l’enfance, ou dans la jeunesse, etc. Ou bien tournez-vous vers l’avenir et inquiétez-vous à fond. Vous comprenez sans peine que pour faire notre propre malheur, nous n’avons besoin d’être aidé par personne, finalement. Si l’on tient à faire son propre malheur, on est tous extrêmement doués pour ça (Watzlawick)
Cette totale responsabilité implique une totale liberté. Si nous avions conscience d’être l’architecte de notre propre réalité, nous saurions aussi que nous pouvons toujours en construire une autre, complètement différente (Watzlawick)